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Nos forces

Nous sommes tous emplis de forces, de qualités que nous ne perçevont pas toujours mais sur lesquelles nous nous appuyons pour mener nos projets.
Prendre conscience de celles-ci permet de mieux appréhender le futur, de gonfler un peu notre estime de soi et de révéler les "faiblesses" à combler (par soi-même ou en s'alliant à d'autres ;-)

Nos réussites

Nous avons tous de petites ou de grandes réussites. La première est d'être né et d'avoir gagné la course face aux autres millions de spermatozoïdes.
Ces différentes victoires se succèdent et se succéderont toute notre vie, même si nous n'en avons pas conscience et pensons que c'est "normal"
Identifiez ces petites victoires permet de maintenir notre estime de soi et aussi d'entretenir notre optimisme.


Notre élément

L'expression "trouver son élément" ou "être dans son élément" est utilisée pour illustrer cet état de grâce dans lequel nous nous sentons vivant, vibrant, pleinement en contact avec notre potentiel. En anglais, on utilise le mot "flow". Cela coule de source ! Dans cet état, on peut perdre la notion du temps, complétement immergé dans ce qui est parfaitement nous : notre élément.
Nous avons tous "un élément", voire plusieurs, à la convergence de nos passions et de nos talents.
Certaines personnes le découvrent facilement, par hasard.
Pour la majorité néanmoins, il faut du temps pour se connaître, se découvrir.
Identifier notre élément permet de dédier nos forces là où nous avons le plus d'impacts avec le moins d'efforts !


Quelques exercices

  • En se basant sur cette liste, pourriez-vous donner 5 qualités qui vous caractérisent bien.
  • Identifiez deux ou trois moments de grande fierté dans votre vie et durant ce dernier mois.
    • qu'avez vous ressenti à cette occasion ?
    • sur quelles forces vous étiez-vous appuyé ?
    • qu'est ce qui permettrait de rapidement mettre en place une nouvelle victoire de ce type ?
  • Selon vous , c'est quoi "votre élément" ?
  • En quoi tout ceci pourrait être une force pour votre travail d'animateur de collectif ?
Attention toutefois à garder un égo mesuré ;-) => faites le test...


Sources / aller plus loin

  • Trouver son élément / ken Robinson
  • 30 jours pour trouver ma voie et vivre mes rêves

Autour de l'enneagramme

Pourquoi l’ennéagramme dans une formation à l’animation de projets collectifs ?

L’ennéagramme est un modèle de personnalité riche et puissant pour mieux se connaître et comprendre le fonctionnement humain. Issu de la tradition orale, il met en lumière 9 profils qui correspondent à 9 manières de voir le monde et d’y réagir. Chacune a sa motivation profonde, ses forces et tensions internes.

Par une démarche d’(auto-)observation, cet outil permet de prendre conscience de ses mécanismes, quand «c’est plus fort que moi», de mieux comprendre et accepter d’autres modes de fonctionnement. Cette prise de conscience invite à se libérer de ses automatismes, à élargir son point de vue et à améliorer la communication avec ceux qui fonctionnent autrement, ce qui est particulièrement précieux dans la cadre de projets collectifs.


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Le temps, c'est relatif

Prendre un peu de recul peut aider à réfléchir sur son rapport au temps, à l'immédiateté des choses, à leur importance, leur urgence. L'idée n'est pas de viser le "rien n'a d'importance" mais au moins de chercher à relativiser les choses

Notre cerveau d'humain ne peut percevoir correctement que l'arithmétique (les sommes)

Percevoir le temps long est chose compliquée : Notre univers (sans doute précédé d'un ou plusieurs autres aurapavant) est né il y a 13,5 milliards d'années.
Cette donnée de temps est "non imaginable".
Combien valent, selon vous, mille secondes, un million de secondes et un milliard de secondes?
Donc, sans faire de calcul, mais simplement «à l’œil»...
À combien de temps estimez-vous qu’équivalent mille secondes?
  • moins d’une heure / environ une journée / une à deux semaines / plus d’un mois / une bonne année / une décennie ou plus...
  • ou toute autre estimation qui vous paraît plus valable.

À combien de temps estimez-vous qu’équivalent un million de secondes?
  • moins d’une heure / environ une journée / une à deux semaines / plus d’un mois / une bonne année / une décennie ou plus...
  • ou toute autre estimation qui vous paraît plus valable.

Et à combien de temps estimez-vous qu’équivalent un milliard de secondes?
  • moins d’une heure / environ une journée / une à deux semaines / plus d’un mois / une bonne année / une décennie ou plus...
  • ou toute autre estimation qui vous paraît plus valable.
Voyons voir si votre intuition est bonne :
  • Mille secondes = un quart d’heure
  • Un million de secondes = deux semaines
  • Un milliard de secondes = 3 décennies
  • Étonnant, n’est-ce pas, l’énorme différence entre un million et un milliard.
  • de secondes: les premiers ordinateurs personnels font leur apparition (1975). C’est la naissance d’Apple et de Microsoft et le début de l’ère informatique.
  • de minutes: Jean terminait la rédaction de son évangile.
  • d’heures: les Néandertaliens commençaient à enterrer leurs morts dans l’actuel Proche-Orient.
  • de jours: en Afrique, les Homo habilis débutaient la fabrication d’outils plus perfectionnés que ceux des Australopithèques.
  • de mois: les derniers grands dinosaures régnaient sur la Terre.
  • d’années: la vie se résumait à des bactéries et à des plantes pluricellulaires

Pendant cette longue minute d'attente à devoir attendre, vous avez l'impression de n'avoir pas bouger... or la terre, elle, vient de parcourir 1800 km autour du soleil...

Notre place dans l'échelle du temps


N'hésitez pas à vous faire les autres épisodes de cette excellente série

Le projet The big history



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Peut-on coopérer sans "chef" (en solitaire) ?

On se retrouve parfois "mal à l'aise" dans les nouvelles injonctions du tout coopératif. (Tout, tous ensemble)
Bien qu'il soit évident que le coopératif soit une voie à développer pour une société plus "juste",il n'en est pas moins vrai que le tout coopératif à chaque instant et pour tous les projets est :
  • épuisant (la validation au consensus est souvent longue et pesante)
  • contreproductif (le travail en groupe est parfois beaucoup plus long et ne génère pas toujours du "meilleur")
  • peu respectueux du mode travail "préférientiel" de chacun
Un système basé sur les personnes ne permet jamais de collaboration à grande échelle sans un système de représentation, comme on en voit dans les organisations comme les nations unies. Si nous voulons quitter le système de représentation tout en permettant à toutes les voix d’être entendues, nous devons trouver de nouvelles méthodes de collaboration. Il faut pouvoir sortir du

Système hiérarchique (contrôle du groupe par un individu )
image systemehierarchique300x116.png (18.4kB)
Hiérarchie de consensus (contrôle des individus par le groupe)
image hierarchieduconsensus300x62.png (9.9kB)
Mais est-il possible de travailler dans son coin tout en participant à du coopératif, tout en alimentant le collectif ?

La stigmergie


La stigmergie est un mécanisme de coordination indirecte entre agents ou actions. Le principe est qu’une trace laissée par une action dans l’environnement stimule l’accomplissement de l’action suivante, que ce soit par le même agent ou un agent différent.
En résumé, une action laisse une trace qui elle même induit une action, elle même pouvant laisser une trace…
De cette façon, les actions suivantes tendent à bâtir sur l’existant et se renforcer, ce qui conduit à l’émergence spontanée d’une activité d’apparence cohérente et systématique. La stigmergie est une forme d’auto-organisation. Elle produit des structures complexes sans avoir besoin de plan, de contrôle ou même de communication directe entre les agents.

image termitiereexemplestigmergie.jpg (0.2MB)
Pour fonctionner, la stigmergie s'appuie sur un certain nombres de principes.

En mode stigmergique, tous les "travailleurs" ont une autonomie complète pour créer comme ils le souhaitent; le pouvoir du groupe d’utilisateurs réside dans sa capacité à accepter ou rejeter le travail. Comme il n’y a pas de personne désignée pour accomplir une tâche, les usagers sont libres de créer une alternative s’ils n’aiment pas ce qui est proposé. La stigmergie n’est donc ni compétitive ni collaborative dans le sens communément admis du terme. Avec la stigmergie, une idée initiale est donnée librement, et le projet est conduit par l’idée, pas par une personnalité ou un groupe de personnalités.
Aucun individu n’a besoin de permission (modèle compétitif) ou de consensus (modèle coopératif) pour proposer une idée ou initier un projet."
  • 1er principe : les actions doivent laisser des traces perceptibles.
  • 2ème principe : large ouverture à priori
  • 3ème principe : usage de licences libres
  • 4ème principe : mécanisme de contrôle a posteriori
  • 5ème principe : grand nombre et grande diversité des agents
  • 6ème principe : auto-allocation des tâches
  • 7ème principe : croissance organique et division en nœuds
  • 8ème principe : gérer les tâches critiques
  • 9ème principe : accepter les branches de projets développés en parallèle
  • 10ème principe : des règles d’interaction simples
  • 11ème principe : intention commune autour d’un objectif prépondérant

Pour peu qu'on respecte certains principes de la stigmergie, il devient possible d'allier travail "solitaire" et projet collectif.

Ainsi, en laissant des traces visibles de ses actions et en plaçant celles-ci sous des licences ouvertes, on participe à l'élaboration d'un commun au profit de qui veut (le reprendre, l'enrichir, le modifier, aider à le faire grandir...).
il est donc possible de travailler collectivement seul dans son coin ;-)

PS : il est évident que les rédacteurs de wikipedia (Openstreetmap) sont des stigmergiens, rédacteurs solitaires mais ayant créés la plus grande encyclopédie (carte) mondiale !

Plus d'infos : http://www.lilianricaud.com/travail-en-reseau/principes-cles-pour-mettre-en-oeuvre-une-cooperation-stigmergique/


En d'autres mots

  • Quels sont les prérequis ?
    • définir un périmètre et un objectif partagé
    • responsabilisation de chacun des acteurs (liberté d’expression)
      • être très motivé et si possible être formé
      • annoncer son intention
      • confiance acceptation totale de l’apport de l’autre (licence libre ou équivalent)
  • A quel besoin çà répond ?
    • permet la créativité et l’innovation, de prendre des décisions, de mettre en oeuvre et d’évaluer les objectifs du groupe…
    • être agile et rapide : plus d’action et moins de blabla (pas de chef ni de dictature du groupe)
    • créer de la motivation et vaincre les peurs (en prototypant)
    • Comment l’utiliser ?
      • peut-être plus facile avec un nouveau projet que dans un groupe existant
      • Indiquer les choses interdites plutôt que les règles du jeu : tout est acceptable sauf ce qui met en péril les personnes ou le groupe
  • Quelle plus value ?
    • Plus vite
    • Plus créatif : on ne sait pas comment çà va aboutir
  • Les difficultés
    • on peut avoir peur de ne pas savoir où on va…
    • comment atteindre un objectif précis ?
    • Accepter de ne peut pas obliger les gens à participer
- Y a-t-il des exemples concrets chez les humains ?
  • wikipedia
  • openstreetmap
  • github
  • vavle (producteur de jeu)

Stigmergie et pilotage de projets collectifs

Ok mais ça donnerait quoi le pilotage d'un collectif en y plaçant de la stigmergie ?

Sans doute :
  • de la place pour beaucoup d'idées d'actions différentes
    • à faire émerger au début mais aussi chemin faisant
    • à rendre très clairement visible aux yeux de tous
    • avec un minimum de documentation pour les comprendre correctement
    • avec un vrai lâcher prise par celui-celle qui les ont émises pour qu'elles puissent être reprises et adaptées par ceux qui sont présent.e.s (les forces vives) => licence libre ?
  • pas de choix à priori sur celles qu'on veut mener
  • l'avancement de certaines actions
    • sur base des forces vives en présence (en adaptation permanente)
    • sur base des envies des forces vives en présence (au libre choix de chacun)
    • => pas de y a qu'à faut qu'on... puisque seules les idées prises en charge avancent
  • le maintien de la documentation sur chaque action (son état d'avancement)
  • ...

Ceci rappelle donc qu'un collectif NE peut PAS être piloté QUE en mode stigmergique car certaines actions sont des tâches critiques qui, si elles ne sont pas réalisées en temps et heure, mettent tout le collectif en péril !

Favoriser l'entraide dans le groupe

Souvent quand ça foire, on attribue la faute aux individus mais rarement sur le groupe et ses règles
L'entraide et la coopération dans un groupe peuvent être favorisées.

Travailler le sentiment de sécurité

Sans sentiment de sécurité, chacun se recroqueville sur lui-même et construit une petite membrane protectrice autour de lui.
Ces membranes individuelles empêchent de voir l'autre comme un allié (la diversité fait peur si elle ne peut s'exprimer dans un cadre de sécurité), ce qui freine l'émergence de comportements coopératifs.
Travailler à l'établissement d'un cadre sécurisant au sein du groupe permet à chacun de s'y sentir bien, d'assouplir sa "carapace", c'est à dire de s'ouvrir aux autres, d'aller vers eux, et de tisser des liens.

Travailler le sentiment d'égalité

Le sentiment d'égalité peut servir à souder un collectif, et son absence peut facilement et rapidement détruire la cohésion d'un groupe.
Plus précisément un sentiment d'inégalité déclenche des émotions antisociales très puissantes. Les inégalités sont corrosives pour la cohésion sociale

NB : La santé d'une population ne s'améliore pas avec la richesse globale du pays mais plutôt avec la réduction des inégalités entre les revenus.
Plus les inégalités sont réelles et-ou visibles plus le niveau d'entraide diminue au sein du groupe. Il faut veiller à réduire ces inégalités !

Travailler le sentiment de confiance

La confiance se construit par expérience. Lorsqu'on arrive dans un groupe d'inconnus on reste d'abord prudent.
Lorsque chaque individu acquiert la certitude, par exemple, qu'on ne se moquera pas de lui, qu'on respectera ses opinions, qu'on nous le trahira pas ou qu'il ne subira pas de représailles pour avoir montrer son authenticité, alors un puissant sentiment de confiance se fait jour et traverse le groupe.
La contagion est d'autant plus rapide qu'une confiance envers le groupe dans son ensemble permet de ressentir instantanément et spontanément de la confiance envers chaque membre du groupe, y compris ceux que l'on ne connaît pas. Simplement parce qu'ils appartiennent groupe.
Ce qui est agréable lorsque la confiance s'installe c'est le relâchement qu'elle permet.

La confiance, au fond, n'est rien d'autre qu'une suspension provisoire de l'esprit critique. Une suspension qui permet aux automatismes coopératifs de s'exprimer pleinement.
Cette situation présente deux avantages :
  • elle permet d'une part d'économiser de l'énergie (celle liée à la défense de sa sécurité) qui peut ainsi être consacrée au projet commun du groupe
  • Elle permet d'autre part de s'ouvrir à l'autre c'est à dire de laisser exprimer notre authenticité très souvent généreuse.
Les relations d'entraide impliquant de la confiance ont tendance à améliorer le sentiment de bien-être, ce qui en retour favorise l'augmentation de niveau de confiance, et donc d'entraide : une spirale vertueuse.
Voici quelques attitudes qui permettent de créer des relations de confiance : faire confiance à priori, faire preuve de respect, de bienveillance, d'honnêteté et d'intégrité, de compassion, d'humilité, d'ouverture, de générosité, de patience, de gratitude, d'optimisme, de détermination, d'humour et surtout d'authenticité.
La priorité des priorités est donc de créer un cadre de sécurité (et d'aider les gens à se connaître de mieux en mieux ;-).

Travailler le contexte général

L'environnement dans lequel nous baignons influence notre tendance à l'entraide. Ainsi nous serons plus altruistes si
  • il fait beau,
  • nous sommes de bonne humeur,
  • nous avons reçu une bonne nouvelle (ou même un sourire !)
    • Imaginons dès lors l'effet dévastateur que peuvent avoir les journaux quotidiens qui diffusent leur lot de mauvaises nouvelles !
    • ou à l'inverse, des sourires, du positif...
  • les autres sont aussi altruistes
  • le contexte est à la coopération, au partage
  • la convivialité est forte
  • le cadre "physique" est agréable
  • nous sommes dans et en contact avec la nature : Les recherches montrent que l’exposition régulière à la nature augmente les comportements coopératifs (et l’implication écologique) chez les humains.
  • ...

Travailler sa posture de l'animateur

  • être ouvert => favorise l'ouverture des autres
  • être positif => favorise l'optimisme des autres
  • être partageur => rend les gens partageurs
  • contrôler son ego => aide les égos à rester raisonnables
  • adopter une posture basse => favorise l'égalité
  • faire circuler l'information le plus largement possible => favorise l'égalité
  • rendre visible les apports de chacun => favorise la réputation de chacun, l'estime

Les cartes pour rendre visible

image Capture_decran_20191203_a_143925.png (96.0kB)

La communication : le fluide du collectif

  • 13h00 Installation et café
  • 13h15 Energyser autour de la communication (dehors)
  • La communication : enjeu crucial dans le collectif
  • Se partager la parole, la communication, les infos
    • En tant qu'animateur, je peux au niveau de ma posture
    • En tant qu'animateur, j'ai dans mon sac ces méthodes...
  • ☕ 15h Pause
  • Analyse de notre stratégie de communication "à distance"
    • quel constat, quelles difficultés, avantages, manques
    • Les questions à se poser : pour notre collectif, pour votre collectif
  • La communication "à distance"
  • De quoi dispose-t-on ? choix partial ;-)
  • ☕ 16h45 Pause
  • Et on gère comment toutes ces informations ?
    • transformer le chronologique en contextuel
  • Yeswiki : on poursuit
  • 18h00 Le récap des acquis et la clôture
  • 18h30 : Bonnes fêtes à tou.te.s (et bienvenue à ceux qui veulent la semaine prochaine pour du yeswiki en mode "tout doux")


Bonnes fêtes et merci pour cette très (très) belle première partie !

Le programme

  • Travailler là où c'est possible

    Albert Jacquard ( extrait)

    " ... les êtres humains ont un défi majeur à relever, celui de savoir vivre ensemble.Dès lors qu'ils coopèrent, s'allient, dès lors qu'il n'y a pas de compétition entre eux, ils peuvent progresser...C'est pourquoi il faut organiser, encore et toujours, des rencontres entre les Hommes...C'est la seule richesse!"
    Albert Jacquard ( extrait)

    • 13h00 : Installation
    • 13h15 : Café des bonnes nouvelles et des retours d'usages
    • Jeu avec l'oeuf
    • Suite "changer avec les autres"
    • Pause
    • Le virus social
    • Temps solo de retour sur ces acquis et travail sur mon projet de chgt
    • Recueil d'energyser
    • 18h00 : Apéro debrief et prépa du 18 juin

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